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Pour Paul Seale, du Pillar Nonprofit Network, il est évident que le bénévolat est bénéfique des deux côtés de l’équation. Selon lui, des moments significatifs sont vécus chaque jour dans nos communautés. « Le bénévolat est un moyen de développer nos forces personnelles et de réaliser notre potentiel. Il permet de lutter contre l’isolement, de développer nos compétences, de donner un sens à notre vie et d’améliorer notre santé mentale. Il pose aussi les fondements pour une saine relation avec la communauté, avec nous-mêmes et avec nos collègues et les gens rencontrés. » Ce bien‑être individuel mène à un bien-être communautaire.
Paul demande aux organisations de repenser les occasions de bénévolat qu’elles proposent. « Il est important de rencontrer les gens là où ils sont, de leur proposer des occasions de la bonne durée et au bon endroit. » Cela implique de prendre le temps de découvrir d’autres modèles d’aide communautaire et de réfléchir à la façon de rendre le bénévolat plus accessible et inclusif.
